» Beauty__

__Nom :
Beauty

__Age :
3 ans et demi

__Meute :
Gaïa

__Histoire:
Ah il faisait si froid quand j’émergeai ma tête du ventre de ma mère. Sa langue vint me lécher avec douceur mais elle fut bientôt plus agitée car d’autres venaient. Alors moi je me mis a crier, ou plutôt a essayer de le faire. Tout ce qui sortait quand j’ouvrais ma petite gueule, ce n’était que des gémissements pitoyables ; J’essayais de me trainer comme je pus à ma mère, mais n’arrivant pas a bouger correctement, emmêlant mes mouvements, ma mère me plaqua contre son ventre. Là j’enfouis ma petite tête humide contre le ventre rebondi de ma mère et me mit a tâter du bout de mon nez, le petit téton. Quand je l’ai enfin, je le presse doucement et boit avidement et goulument le petit liquide blanc si important a ma survie. Un premier jour. Une vie de plus dans ce monde.

Plus tard alors que mes yeux commençaient a se décoller, je pus voir le monde en compagnie de mes deux sœurs. Je me sentais différente d’elles. Elles souhaitaient toujours jouer alors que moi je restais dans mon coin. D’ailleurs mes pattes me faisaient mal encore et il nous était encore impossible de nous hisser sur nos pauvres petites pattes tremblantes.

Une semaine plus tard, alors que je pouvais me tenir a présent sur mes pattes. Alors que mes deux sœurs jouaient encore ensemble et que je me tenais loin de là. Un loup a l’odeur sale et différente, apparut. Il bondit près de ma mère et la fixa. Maman semblait avoir peur de cet inconnu alors moi je restais seule dans mon coin. Tremblante. Le grand loup attrapa l’un de mes sœurs et la secoua dans tous le sens. Celle-ci gémit et cria douloureusement. Ma mère criait aussi « Arrête ça ! » Et il la balança sur le sol. Le pauvre louveteau s’affala sur le sol près de sa mère. Je dressais mes petites oreilles toutes touffues vers la silhouette allongée de ma sœur la plus vielle. Celle ci avait la gueule ouverte, sa petite langue rose sortait et ses yeux étaient encore ouverts seulement ils étaient étranges. Oui ils étaient vitreux. Ma mère toucha ma sœur du bout du nez et la ramena contre son poitrail, des larmes tombèrent sur le sol. Je ne compris pas et resta là. Pourquoi ne bougeait-elle pas ? Soudain, un deuxième gémissement parvint a ses oreilles, sa mère leva la tête, les yeux emplis de larmes. Je regarda le grand male qui avait cette fois-là ma deuxième sœur entre ses crocs. Il fixait ma mère d’un air de défi. Soudain, il referma ses mâchoires brusquement. La petite loupiotte se tut. Elle tomba sur la terre meuble, un liquide rouge commença à recouvrir le sol. Sa petite gueule continuait tremblée. Je ne compris qu’elle était morte mais le cri déchirant de ma mère, me fit me méfier de ce grand male. Je galopa de mes petites pattes maladroite jusque devant ma mère qui sursauta, criant mon nom.

- Beauty, Beauty ! Cache toi !

Mais je ne bougea pas et me mit à grogner. Un grognement pitoyable. Le male se tourna vers moi et ils ‘approcha de moi. Il approcha son museau de moi et par réflexe je le griffa de mes petites griffes il sursauta et fit un mouvement en arrière. Et il se mit a rire, un rire méchant qui me fit plaquer mes petites oreilles sur ma nuque. Et alors de sa voie rauque :

- AhAh Quel courageuse petite as-tu là, ma chère ! Railla-t-il en adressant un regard amusé à ma mère. Elle ose me faire ça alors que j’ai tué ses sœurs !

Il rit encore puis fit demi tour, commençant a marcher.

- Je laisse en vie celle-ci. Elle paraît moins niaise que les autres. Fait bien attention a elle, il pourrait lui arriver de fâcheux problèmes. Lança-t-il riant.

Puis après avoir disparu derrière l’ombre d’un arbre :

- Au plaisir de te revoir, ma chère !

Je tremblais et quand il disparut, je me précipitai dans els poils de maman, celle-ci pleura dans mon pelage, très triste mais heureuse que je ne sois pas morte. Elle entera mes sœurs et me chouchouta, me protégeant de tous els dangers, m’apprenant les duretés de la vie, me suppliant de faire attention aux gens que je ne connaissais pas. Et moi j’écoutais Maman.

J’atteignis mes 3 ans très vite et un jour que le soleil se leva, Ma mère vint me dire qu’elle devait partir. Alors, elle partit mais alors que moi j’attendais à l’entrée de la tanière, ma mère ne revint pas. C’est alors qu’une odeur que j’avais connue apparut. C’était ce loup ! Ils ‘approcha de moi un drôle de sourire au visage. Il commença d’une voie un peu hésitante, son sourire s’effaçant doucement.

- Beauty ?

- O…Oui, répondis-je hésitante.

Le grand male sourit à ma réponse et bondit sur moi. Me plaquant sur le sol. Son rire toujours aussi macabre aux lèvres. Il me mordit au niveau du poitrail, plus bas. Arrachant la chair. Il me fixa droit dans les yeux et alors que la douleur envahissait mon être, je grognai, retroussant mes babines avec haine. De mes pattes arrières, je lui lacéra le ventre et me propulsa hors de son emprise. Je le toisai du regard. Il était plus vieux que ma mère et semblait fatiguer. De plus du sang séché était visible sur son pelage gris. Ile sourit satisfait, la bave aux lèvres avant de bondir les crocs en avant. J’évita l’attaque et le percuta pour le faire tomber sur le sol, là je le maintiens sur le sol en grognant. Alors que je plante mes crocs dans sa gorge sans serrer ma mâchoire, il se met a rire bruyamment. Surprise je levai la tête et il planta ses yeux dans les mieux. Un regard étrange.

- Tu n’as pas changée, ma fille. Dit-il souriant. Toujours aussi impulsive et insouciante.

Je ne compris pas ! Moi sa fille ? Mais il avait tué mes sœurs ! Un père pouvait-il faire ça ? Dans une grimace de dégout je recule, laissant le champ libre au loup qui se disait être mon père. Celui-ci me fixe et s’approche de moi. Il me souffle à l’oreille d’une voie qui se voulait douce mais ironique.

- Ta mère est morte, pauvre petite.

Il rit un peu. Je tourne vers lui un regard de dégout. Je serre les dents et des larmes commencent à couler le long de mes joues. J’essaye de commencer une phrase.

- Comment as-tu put…

Mais ma gorge se noue et je recule encore, j’aurais du le tuer, oui, mais je ne l’ai pas fait. Je fit volte face et m’enfonça dans la forêt, les larmes coulantes. J’étais seule, plus qu’avant. Traversant la forêt de mon galop effréné. Cette nuit là, j’hurla ma douleur a la lune, mon chant de désespoir. Celle-ci ne me répondit pas bien sur.

Quelques jours plus tard, je rencontrai un vieux loup. Il me conta la légende du grand loup créant notre monde. Avide, je l’écoutais oubliant ma tristesse le temps d’une histoire. Puis il me dit ce qu’il savait sur chaque clan. J’écoutais attentivement. Enfin, il me fit promettre d’entrer dans un clan.

- Pourquoi ça ?

- Il n’est pas bon de rester sans protection. Tous ne sont pas vils mais tu es jeune et tu ne connaissais rien de ce monde. Tu dois te forger une vrai vie a présent.

Ce vieux loup, il était doux et gentil. Il m’expliqua ce que ma mère ne m’avait pas dit et un beau jour, il mourût de vieillesse. Sa mort, elle ne m’affecta pas beaucoup. Il était vieux et avait eu sa vie. A présent il laissait la place à d’autre. Beauty médita longuement sur ce qu’il lui avait conseillé de faire et finalement partit de cette forêt pour marcher longuement décidé à rentrer dans ce clan nommé Gaïa.

__Caractère :
Beauty est une louve tranquille mais distante. Elle ne vient généralement par vers vous. À l’écart, elle semble n’avoir besoin d’aucune compagnie mais en faite sa solitude pèse et elle en a marre de voir des groupes se forger et elle restée seule. Pourtant elle vous renie parfois quand vous venez vers elle. Vous demande de dégagez mais il ne faut pas trop la croire. Elle ne veut juste pas qu’on l’assomme avec des questions. Juste passer du temps ensemble. Elle est souvent très mélancolique et aime fixer le ciel, repensant à sa douce mère. C’est une grande dormeuse et quand mademoiselle est dans son monde des rêves, mieux vaut ne pas la réveiller si vous ne voulez pas vous faire incendiez dès le matin.
Têtu, elle n’aime pas tellement qu’on lui ordonne des ordres qu’elle ne souhaite pas réaliser. Beauty est lunatique, elle peut être une vraie crème comme plus nostalgique ou alors sur les nerfs. Quand elle s’attache a quelqu’un, elle fera tout pour l’aider, le sauver de tous les dangers existant. Cependant, Beauty est une louve timide et un peu discrète. Elle a dut mal à exposer ses idées quand des loups allant une voie plus portante est dans la même pièce qu’elle. Enfin ça dépend des fois. Elle montre plus facilement les crocs à un mâle qu’a une femelle. Elle rit très facilement et même de blagues débiles sauf quand c’est elle l’héroïne de la blague enfin tout dépend la circonstance la aussi.

__Description Physique :
Beauty n’est pas une louve particulièrement belle, elle est banale. Son poil est bien fournis et sa fourrure est grise avec des tons variant entre le noirs et le blanc. Sa queue est un peu longue contrairement à la normal mais ça ne se voit presque pas. Le bout de ses pattes est un peu noir mais peut-être cela partira avec l’usure. Ses yeux sont un peu étranges, ils sont d’un brun si foncé que beaucoup de gens croient qu’elle a des yeux noirs ce qui peut effrayer car ils croient qu’elle ne possède pas de pupille. Elle possède une cicatrice de taille moyenne entre ses deux pattes avant.

__Autre :
J’espère ne pas avoir fait trop de faute dans l’histoire étant donné que je suis une flemmarde je ne me suis pas relus et même si j’écris sur Word j’arrive a faire des fautes de syntaxe x) j’applaudis ceux qui ont tous lus * clap clap * =D

Welcome ^^

C'parfait, tu peux jouer x)

Thank's you <3

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