Quelque soit mes envies ...

En temps normal, le soleil ne serait pas trés haut dans le ciel. Seulement ici, le soleil, on ne le voyait pas beaucoup. Quelques rayon de temps en temps par-ci par-là. Mais c'etait tous ... Je savais bien qu'ici n'était pas ma place, qu'ici n'était pas mon territoire et qu'en quelques sorte je n'étais pas autorisé a venir là. Mais d'un autre côté, rien ne m'en empechait ! Aucune guerre ne déchirait les meutes de ces nouvelles terres. Enfin, il n'y avait que pour moi qu'elles étaient nouvelles ! Moi, je venais d'arriver, quelques jours plus tôt seulement. Je venais d'une contrée lointaine, tres tres lointaine d'Arkhàs ! Là-bas, j'avais failli mourir a cause de ma déplorable famille et cela ne m'avais guère plus. Mais bon ! Arrêtons un peu de parler sans cesse de moi !

Je marchais a un rythme plutôt paisible, les yeux a demi fermé, tous mes autres sens en alerte totale. Bien que je sache que l'on avait strictement aucune raison de m'attaquer j'étais sur mes gardes : il y a certains reflexes qui restent incrusté a jamais dans notre personalité et qui font ce que l'on est ... On entendait le "flop-flop" regulier de faisait mes pattes lorsqu'elle entraient en contract avec ce qui semblait être un genre de marecage. Je savourais grandement chaque instant de ma nouvelle libertée ! D'ailleurs, pour moi, tout était nouveau ici ! La végétation, les proies, le chant des oiseaux qui semblait tout droit sorti du paradis ! Absolument tous ! Même moi je me sentais renaître ! Seul restait mes cicatrices pour temoigner de mon ancienne vie ... Cette longue ligne serpentant le long de mon antérieur gauche ou cette marque de croc sur le haut de mon oreille droite ...

Je levait les yeux vers la cimes des arbres m'entourant et me mis a observer d'étranges oiseaux dans une sorte de parade de séduction qui me donna des haut-le-coeur ... Alors je me consentrait sur ma trajectoire, voyant de temps a autre un écureil passer a fond de train. J'eus l'idée a un certain moment, d'en poursuivre un. Mais ceci n'aurait été que perte de temps alors que je devais rester avec une certaine garde pour ne pas me faire surprendre si jamais un canidé mal intentioné croisait ma route ...

[Personne ?? Sad

]

Anveena marchait lentement , les yeux clos , se dirigeant uniquement grâce à ses sens . Un doux vent soufflait secouant les branches des arbres et répandant partout le parfum exotique des fleurs rennaissantes . La chef des Chasseurs s'arrêta pour écouter . Elle entendait les oiseaux chantaient une douce mélopée , le bruissement des feuilles sous les pas d'un animal , le murmure lointain d'un petit ruisseau perdu . Elle soupira mais un sourire c'était formé .
Anveena rouvrit les yeux , enveloppant de son regard chocolat les alentours , les feuilles vertes éclatantes des arbres , les bourgeons vert pâle , les coquelicot flamboyant puis continua à avancer .
Ses pas l'avaient porté ici , sur la terre des Syldra , mais après tout , elle ne touchait pas à leurs gibiers donc à part une intrusion elle ne faisait rien d'autre mais il était clair qu'elle n'avait pas envie de se faire surprendre , simple question de moral .
Le vent souffla , beaucoup plus fort , lui rapportant une odeur . La chasseresse se figea , totalement à l'écoute puis repéra le canidé . Un autre loup . Vivement et sans bruit , elle se fondit dans les quelques buissons qui poussait et s'approcha de la louve , à en juger par son odeur .
En un bond , elle fut à côté d'elle et se figea , elle venait de sentir l'odeur des Thanos ...Elle soupira puis fit vivement pour ne pas que la guerrière l'attaque :
" Je suis Anveena , la Chef des Chasseurs "
Elle ne rajouta pas de ta meute , mais espérait que la louve sentirait qu'elles avaient en commun la même odeur .

Les yeux toujours mi-clos, je marchais encore et encore au milieu de la forêt. je sentais le vent ébourifé mon pelage gris cendré, me déléctant de ces instant de pur solitude. Mais, alors qu'une bourrasque ce faisait plus insistante, je reperais une nouvelle odeur parmis une flopée d'autre. Comme j'en avais toujous eus l'habitude, je ne cherchais pas a fuir. Je detestais ceux qui ce cachais ! Ils ne valaient pas la peine de vivre ! Je relevais les babine, decouvrant mes crocs blanc, et émis un grondement sortit du fond de mon poitrail. J'humai une nouvelle l'air et arrêtais de suite de grogner : c'était une louve de ma meute !

Elle approchait. Fût bientot a quelques mêtres de moi. Elle se présenta. J'en fit de même

Akiryl'Nev, guerrière.

Mon ton était sec, presque agressif. Il faut dire que je n'avait jamais été doué pour la diplomatie ...

[désolée, pas d'inspi ...]